La margarine un poison autorisée
Voici comment est fabriquée une margarine :
Les graines oléagineuses sont battues, décortiquées,
moulues, et floconnées afin que la matière grasse qu’elles contiennent entrent
bien en contact avec le solvant qui va permettre de les extraire. Ce solvant est en général l’hexane, un dérivé
du pétrole bon marché qui, en outre, présente l’avantage de pouvoir être
presque entièrement récupéré après extraction. On obtient alors de l’huile
brute. Comme celle-là contient un certain nombre de substances indésirables,
vient alors l’étape de dégommage.
Cette seconde opération consiste à chauffer l’huile brute
avec de l’eau et parfois de l’acide phosphorique. Les substances à éliminer s’hydratent
et il est alors facile de les éliminer par centrifugation.
Le raffinage supprime les acides gras « libres »
responsables du rancissement. On ajoute à l’huile, un mélange de soude et de
carbonate de sodium, et on, brasse le tout. Une fois la réaction chimique
obtenue, on procède à nouveau par centrifugation.
A ce stade, les huiles obtenues peuvent encore être
considérées comme « naturelles », mais elles sont fortement colorées,
et présentent une saveur peu discrète, aussi est-il nécessaire de les
décolorer, et de les désodoriser.
Deux opérations assez brutales :
Durant, le première, l’huile est mise en contact avec une
substance absorbante, souvent traitée avec de l’acide sulfurique ou
chlorhydrique.
Durant, le seconde, l’huile est chauffée à plus de 200
degrés, pendant 30 à 60 minutes.
Et en tout dernier lieu, afin de garantir des critères
industriels tels que longue conservation, on procède à l’hydrogénation
partielle. Cette réaction se fait entre 120 et 200 degrés en présence d’hydrogène
et de nickel...
La margarine un poison autorisée
Voici comment est fabriquée une margarine :
Les graines oléagineuses sont battues, décortiquées, moulues, et floconnées afin que la matière grasse qu’elles contiennent entrent bien en contact avec le solvant qui va permettre de les extraire. Ce solvant est en général l’hexane, un dérivé du pétrole bon marché qui, en outre, présente l’avantage de pouvoir être presque entièrement récupéré après extraction. On obtient alors de l’huile brute. Comme celle-là contient un certain nombre de substances indésirables, vient alors l’étape de dégommage.
Cette seconde opération consiste à chauffer l’huile brute avec de l’eau et parfois de l’acide phosphorique. Les substances à éliminer s’hydratent et il est alors facile de les éliminer par centrifugation.
Le raffinage supprime les acides gras « libres » responsables du rancissement. On ajoute à l’huile, un mélange de soude et de carbonate de sodium, et on, brasse le tout. Une fois la réaction chimique obtenue, on procède à nouveau par centrifugation.
A ce stade, les huiles obtenues peuvent encore être considérées comme « naturelles », mais elles sont fortement colorées, et présentent une saveur peu discrète, aussi est-il nécessaire de les décolorer, et de les désodoriser.
Deux opérations assez brutales :
Durant, le première, l’huile est mise en contact avec une substance absorbante, souvent traitée avec de l’acide sulfurique ou chlorhydrique.
Durant, le seconde, l’huile est chauffée à plus de 200 degrés, pendant 30 à 60 minutes.
Et en tout dernier lieu, afin de garantir des critères industriels tels que longue conservation, on procède à l’hydrogénation partielle. Cette réaction se fait entre 120 et 200 degrés en présence d’hydrogène et de nickel...
